Le Luberon – Tome 2

Dans la lignée des précédentes encyclopédies (La Montagne de Lure, Le Mont-Ventoux et Les Alpilles), les éditions Alpes de lumière vous content, en deux volumes, la plus célèbre des montagnes de Provence, celle qui donna son nom au parc naturel régional qui la protège et la valorise depuis 35 ans : le Luberon.

Ce deuxième tome est consacré à l’économie, l’architecture et la culture.

Après avoir parcouru — avec le tome 1 — des millénaires dans l’histoire de cette montagne majeure, de sa géologie à ses richesses naturelles, après avoir suivi les péripéties de son peuplement depuis la plus lointaine préhistoire jusqu’à nos jours, nous voilà, avec ce second opus, au cœur de ce qui donne son originalité à la vie de ce territoire. On y voit comment s’est fait le lent façonnage des paysages par les hommes, quelles ressources ils ont su exploiter, l’équilibre qu’ils ont su trouver entre agriculture, élevage, artisanats originaux et aventure industrielle. On y découvre ce qui fait la spécificité du patrimoine bâti, lequel, des plus humbles « bories » aux châteaux prestigieux, offre une diversité toujours harmonieusement insérée dans l’écrin de nature et les sites superbes qu’a su protéger le parc naturel régional.

Enfin, on entre plus avant dans la connaissance de tout le patrimoine « immatériel », qui témoigne du génie créatif des hommes de ce pays: une tangue singulière et belle, une riche littérature provençale et française, l’art, sous toutes ses formes, et des traditions, depuis les manières de table à la célébration de la fête. Avec ces deux volumes, nous aurons tenté de faire prendre conscience à un large public — populations de souche comme néorésidents, simples passants ou visiteurs curieux —, comment cette petite chaîne provençale a pu naître à la notoriété, devenir parc naturel et susciter chez beaucoup le désir fort de venir s’y fixer.

Un érudit lecteur a dit de ce livre qu’il était « un coup fatal porté aux insipides clichés et surtout à l’ignorance!». C’est sans doute le plus juste compliment que l’on pouvait formuler…